La page à Willy
Voici un historique des habitants et habitations tels que les ont connus d'anciens Grandsonnois.
Quelques erreurs ? Peut-être... Mais que de souvenirs rassemblés.
Si vous désirez compléter ou corriger des éléments, n'hésitez pas.
Il pourrait s'agir d'un lieu d'échange et d'enrichissement de souvenirs.
G R A N D S O N au milieu du 20e siècle Introduction Auteur: Pierre Addor, mémoire vivante de l'histoire récente de la bourgade.
Rédaction: Toillotze, alias Willy Vité, qui a le bonheur de reporter sur papier une foule de souvenirs d'enfance.
A cette époque, les Grandsonnois automobilistes se comptaient sur les doigts d'une main.
L'approvisionnement alimentaire se faisait dans le commerce local.Les petits commerces étaient nombreux et les affaires marchaient assez bien.
De nombreux couples exerçaient une activité accessoire, soit un 2e revenu modeste. A part 3 ou 4 familles considérées comme "riches", la majorité des habitants n'avaient pas d'argent.
Durant notre enfance, tous les parents trimaient dur pour faire cuire la marmite.
Nous n'avions pas de convoitises entre copains. Lorsque le projet d'autoroute a pris forme, une révolution a enflammé la population.
Les premiers piquets de marquage ont été plantés au lieu dit "Froideville" en 1950. L'autoroute passe à quelques dizaines de mètres de ce premier projet.
Les commerçants pensaient que l'autoroute signerait leur arrêt de mort. La cause s'est révélée bien différente. La conjoncture aidant, le trafic de transit a pris une telle intensité qu'il a tué les commerces. Les trottoirs de la rue Basse devenaient dangereux, voire impraticables.
La grande distribution s'est installée dans la région.
Parallèlement à cette évolution, certains habitants ont pu acheter une voiture, ce qui facilitait les déplacements dans les grandes surfaces d'Yverdon ou d'ailleurs.
Les listes par rue montrent un reflet de cette évolution.
Notre but est de conserver la mémoire de ce que représentait, au milieu du 20e siècle, l'âme de la bourgade.
Merci de nous transmettre des compléments d'information ou des corrections éventuelles. Comme pour tout un chacun, la mémoire peut nous jouer de mauvais tours.
Nous espérons de tout cœur que vous aurez autant de plaisir à parcourir ces souvenirs que nous avons eu à les transcrire.
Grandson, juillet 2012.
Souvenirs de cette époque Les candidats au permis moto passaient l'examen de conduite sous l'oeil expert de Fernand Cand, chef d'entreprise de transports.
L'épreuve se déroulait sur la Place du Château, où ils devaient "faire un huit", avant d'aller récupérer un bleu tout neuf, au Commerce, devant un verre et en présence de l'expert.
Le bon savoir-vivre de cette époque n'était pas encore nommé corruption.
Entre l'église libre et le bas de la rampe d'escaliers du collège, se trouve, en sous-terrain, la Chambre des Vannes, qui répartit l'eau potable dans la ville.
Lors d'une demande extraordinaire d'eau, en cas d'incendie, par exemple, Lucien Détraz, employé communal, fermait les vannes des rues non concernées et acheminait le précieux liquide au bon endroit.
Chaque vanne était désignée par une affiche en blanc sur fond bleu. C'est là que se trouvait l'indication officielle: "Derrière les Brés".
L’automne est annoncé par la descente des troupeaux. Lucien Détraz installait les piquets et les cordes destinées à attacher les génisses dès leur arrivée sur la Place du Château, côté lac.
Les alpages attendus avaient pour noms Les Petites Fauconnières, Vers chez Bordon, La Tormande, la Redalle, sans oublier le Grand Pré Baillod. A l'arrivée, les hommes et génisses avaient quelques heures de marche dans les jambes. Les paysans du Gros-de-Vaud venaient prendre possession de leurs bêtes dans l'après-midi, puis descendaient à la gare pour les charger dans les wagons. « On enwagonnait », terme habituel pour désigner cette opération. Le même soir, le train conduisait tout ce monde vers leurs étables respectives d'Eclépens, Daillens ou La Sarraz. 2
Rue Haute, de la Place du Château à la route de Giez (Ruz-d'Gy) Côté impair.
Naguère |
No 1) |
au 21e siècle |
Abattoir |
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Dépôt communal |
Ferme Perret - incendie le 01.04.1981 |
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Parking |
École enfantine, (j'ai toujours entendu désigner ce bâtiment par ce nom), puis local de répétition de la fanfare, puis classe OP de M. Dériaz, travaux manuels, puis Chasseur de Loups (1991), répétitions de la pièce de Michel Bühler, avec Gil Pidoux, metteur en scène. |
5 |
Ecole maternelle Les P'tits Loups |
Graisses Pilet-Piaget puis Favre |
1 |
Habitation |
Ruelle sans nom, conduit à la ferme Perret, (parking après incendie). Passage privé. |
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Passage supprimé |
Annexe, mitoyenne à la ferme-habitation, propriété de la Commune. Boucherie - des crochets étaient fixés dans le mur - puis remise pour matériel viticole à Louis Vité 2) |
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Bibliothèque communale |
Ferme - habitation - avec cave voûtée en sous-sol 3) |
57 |
Habitation |
Bricelets Pahud puis Hoesli |
55 |
Habitation |
Dr Bindlingmeyer (Bidlingue) puis Dr Perrin |
53 |
Habitation |
Epicerie Roulet - Fritz Miéville oeufs SRO |
39 |
Habitation |
Ruelle de Montagny = Café du Cercle Mme Roth |
41 |
Habitation |
L'Etoile - Nom donné par l'ancienne affectation "Café de l'Etoile". Ne reste que l'Etoile habitations. |
33 |
Habitation, comprenant aussi Dr Perrin, puis CMS |
Ruelle du Prieuré - Bâtiment des Cloîtres, rez inférieur - Ecole primaire-supérieure, classe de M. Ulysse Rossier, évent. avant ou après M. Jan - Bibliothèque communale - salle de répétition de la chorale l'Espérance |
25 |
Garderie - École enfantine |
Bâtiment des Cloîtres - ancien Hôtel-de-Ville |
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Salles de réunion |
Ruelle du Temple = Reynold Strehl - Radio |
19 |
Habitation - Bioley facteur de harpes |
Ferme Hitz habitation |
17 |
Institut de beauté |
Ferme Hitz incendiée le 14.07.1947 |
15 |
Le Belvédère |
Pressoir à Léon Duvoisin |
13 |
Maison des Terroirs |
Cave à Léon Duvoisin |
13 |
Caveau à louer par la Commune |
Ruelle de Péroset |
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Maison du Bailli, puis Ambassade de Roumanie M. l'Ambassadeur Lahovari. Jean Morisetti Majordome et chauffeur |
11 |
habitation |
Eglise catholique, lieu de culte, avant la construction à la ruelle aux Renards |
9 |
partie d'habitation du no 11. L'Ambassadeur avait mis un local à disposition. |
Favre Antiquaire |
7 |
Petite Ruche - habitation |
Longchamp Vente d'ail et vacherin |
5 |
Habitation |
Laiterie Wehrli |
3 |
Banque Raiffeisen |
- 1) Numéro de rue 2012
- 2) Louis Vité y déposait son matériel viticole. Particularité: sa façade a été griffée par les billes de grands bois, transportées par les camions Cand frères, qui devaient négocier le virage 90° (le miroir n'était pas implanté) en frôlant le tronc du tilleul planté en 1903.
- 3) Bâtiment Rossier avec grange côté rue, et écurie côté Guiguet, avec pavés ronds de l'époque. Accès à la cave à vin par le corridor, grand escalier (20-25 marches). Soupirail d'aération donnant sur la rue.
Au rez, grande chambre, avec 2 fenêtres donnant sur la rue. A la suite de cette chambre, un local borgne servant de cave à provisions. Entre ce local et l'appartement donnant à l'ouest, une écurie à chevaux, sol couvert de pavés ronds, avec porte extérieure donnant sur la ruelle entre Graisses Pilet-Piaget et bâtiment Rossier. Je n'ai pas connu la ferme, mais le pressoir à vendange dans la grange et la cave à vin. La Fabrique Vautier avait loué la grange, à 2 reprises, pour sécher le tabac.
Rue Haute, de la Place du Château à la route de Giez (Ruz-d'Gy)
Côté pair
Naguère |
No |
Au 21e siècle |
Café de la Charrue, Eugène Ischy, puis Marguerite Kaeser |
6 |
Chez Toni |
Emile Mermod (Sadi) fruits et légumes - fille = Sophie Perrinjaquet dite Mémette |
2 |
Habitation |
Boucherie Gasser dans la maison à Sadi |
58 |
Habitation |
Boulangerie Germain Tharin / Warpelin / Zellweger |
52/ 54 |
Boulangerie Tea-room Rouilly puis Le Repuis |
Kaeser, père de Lotet, débit de sel après la boucherie Desplands - fumoir à viande |
46 |
Habitation |
Ernest Gerber cercueils - père de Néno |
42 |
Habitation |
La Grange Bourgeois a abrité des Bourbakis, des militaires, un dépôt de tabac/cigares à Henri Simon, le pressoir et la cave à vin Lavanchy |
36 |
Habitation |
Ancienne Préfecture |
30 |
Habitation |
Epicerie Jeanprêtre, puis Bouquet |
28 |
Habitation - Premier Père Noël |
Boucherie Pache saucissons de Payerne |
20 |
Petits travaux sur bois |
Voûte du Tonneau |
|
|
Café du Tonneau Haberbüsch / Pache / Kniggé |
18 |
Garderie Le Petit Passage |
Simon Tabacs Cigares - bureaux |
12 |
Habitation et Epicerie Proxi |
Épicerie Usego - Mlle Margot dite la Petite Zego |
10 |
AXA Winterthur assurances |
Peintre Fernand Walther |
8 |
Habitation |
La Passade - habitation Bioley - La Commune devait donner le gîte (une paillasse) et le couvert (un bol de soupe et un morceau de pain) aux passants (chemineaux, trimardeurs ou vagabonds) pour une nuit. Lors d'une absence de Bioley, mon père avait dû fonctionner comme remplaçant du gardien de la passade. |
4 |
Habitation M. Böhringer (orthographe libre), a fonctionné comme Père Noël, avant Pierre Addor, auteur de ces informations, qui a porté La Hotte et la Houppelande pendant 15 ans. |
Boulangerie Duruz, puis Dériaz, puis Ackermann |
2 |
Kiosque de la Place, puis Pharmacie Payot |
Café du Commerce Peissard puis Miserez |
|
Café du Commerce |
Rue Basse, de la Gare à la Place du Château Côté pair
Naguère |
No |
Au 21e siècle |
Sur la Place du Château, Société coopérative yverdonnoise Mme Tallichet |
2 |
Kiosque de la place |
Pharmacie Richardet, / Francey / Payot |
2 |
Opticien |
Café du Lion d'Or Fritz Magnin |
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Restaurant Chinois + Jeux |
Horlogerie bijouterie Miéville |
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Restaurant chinois |
Boulangerie Leuenberger - pains d'anis |
6 |
Habitation |
Coiffure Bardet |
10 |
Ecole de musique pour petits enfants |
Ruelle de Péroset |
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Forge Houst, puis peinture Willy Maeder |
12 |
Habitation |
Librairie imprimerie Cavin |
16 |
Coiffure Pino Traversi, puis Marta |
Ruelle du Temple |
|
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Epicerie Mlle Ledermann |
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Local |
Laiterie Wehrli succursale |
26 |
Esthéticienne |
Epicerie Lavanchy |
28 |
Couturière, fermé |
Ruelle de Montagny |
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Garage à Walther tabacs cigares, puis Louis Bron appareilleur |
32 |
Croche Pied |
Cordonnerie Suter puis Ducret |
34 |
Local |
Chaussures Suter puis Paul (Paulet)Gasser |
34 |
Couturière Isa |
Hôtel de la Croix-Rouge Ami Wacker puis Edwige Montandon |
36 |
Hôtel du Lac Manini, Café Christophe Peyrache |
Boulangerie Jufer, puis Fonfon Ryser Coiffure Funk |
38 |
BCV puis coiffeuse Pretty Lady et Manucure |
Chemin du Grandsonnet - Primeur Compondu puis vélos Recordon 1) |
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Pretty Lady et Manucure |
Buffet de la Gare Guggisberg / Bavaud / Veissaz Annexe au Buffet = 1 kiosque éphémère |
40 |
Bar Robana |
Fabrique Vautier |
2 |
Sugyp feux d'artifice - Sbarro |
1) J'y ai acheté mon premier vélo de marque Recordon en 1952
La Fontaine du Bouc
La petite fontaine adossée au grand mur, côté Jura, en bordure de la rue Basse, mérite qu'on écoute son histoire. Au-dessus d'un demi-bassin rond orné de godrons, une tête de bouc est sculptée dans une stèle. Il ne s'agit pas là d'un simple motif décoratif, mais d'une allusion à un fait authentique passé sous la domination bernoise et que les autorités de Grandson ont tenu à ne pas laisser tomber dans l'oubli.
A Grandson, comme dans toutes les localités viticoles, le maraudage dans les vignes était fréquent au temps des vendanges. Pour y mettre un frein, le Conseil décida de faire construire un "pilori", c'est-à-dire une cage en fer cylindrique pivotante, actionnée avec une manivelle. Ordre fut ensuite donné d'y mettre le maraudeur et de le virer jusqu'à étourdissement et reddition du corps du délit. Un jour, un bouc, ou "bocan", fut surpris en train de divaguer dans les vignes. Et comme on n'admettait pas de faire une différence, on passa le dit "bocan" au tourniquet, exercice qu'il apprécia si peu qu'il en mourut ! Dès lors, les gens de Grandson furent désignés par le terme ironique de "vire-bocans".
Rue Basse, de la Gare à la Place du Château Côté impair
|
No |
Au 21e siècle |
Dans la ruelle de Couvaloup, dépôt de bois pour Paul, puis serrurerie Briod, |
4 |
Roth |
Ruelle de Couvaloup |
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Dans la ruelle de Couvaloup, tonnelier Paul, puis réparation de vélos par son fils André |
2 |
Fermé |
Epicerie Sangrouber, puis Gaille, puis salon lavoir |
1 |
Fermé |
Coiffeur Seemann, vente de cigarettes et petits articles de pêche |
1 |
Habitation |
Charcuterie Desplands, débit de sel, puis Carrard |
5 |
Boucherie Herren |
Ami Troxler, tapissier |
7 |
E-Ki-Libre |
Boulangerie Mutrux, puis bar à café |
9 |
Coiffeuse |
Atelier de ferblanterie Morisetti puis Chedel |
11 |
Habitation |
Cordonnerie Vulliamy |
17 |
Habitation |
Boucherie Gaillard, puis Schneiter |
17 |
Habitation |
Coiffeur Leuenberger, frère à Pain d'anis, puis Müller, puis Potterat |
19 |
Habitation |
Quincaillerie Glardon puis Burri |
21 |
Tatoueur |
Ruelle Glardon |
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Primeur Matthey |
23 |
Habitation |
Cordonnerie Balzli (Natsi) |
25 |
Habitation |
Dans le bâtiment Bidlingmeyer, Recette |
27 |
Habitation |
Droguerie Margot, puis droguerie Müller, puis Meubles Eggenberger |
29 |
Galerie d'artistes de la région |
Epicerie mercerie Denger, puis Mlle Fuchs |
33 |
Habitation |
Dans la ruelle Criblet, chez Arthur Guyaz, Préfecture, puis la Recette |
35 |
Habitation |
Ruelle Criblet |
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BCV Braillard puis Jean Brun |
37 |
Habitation |
Etude du notaire Crosasso, Syndic de 1927 à 1942, puis charcuterie Carrard |
39 |
Habitation |
Epicerie Capt - débit des ampoules électriques - échange de l'ancienne contre une nouvelle |
41 |
Habitation |
Oscar Simon vélos |
43 |
Fleuriste |
Primeur Campiche |
43 |
Dépôt du Croche-Pied |
Ruelle Walther |
|
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Walther dentiste |
45 |
Habitation |
Grange de la Croix-Rouge, puis Eggenberger meubles, puis Epicerie Casino |
49 |
Fermé |
Au fond de la cour de l'Hôtel-de-Ville, Albertano, étameur |
|
Fermé |
6
Naguère |
No |
Au 21e siècle |
Hôtel de Ville, comprend: - la Gendarmerie + 2 géoles, - les PTT - point de départ de la diligence - l'agence du Crédit foncier vaudois, représentée par Henri Cavin, également boursier communal, - le Registre foncier ou Cadastre, ou Droits réels, tenu par Henri Guignet, Syndic de 1942 à 1954, père de Guenèfle, arbitre international de football, beaupère de Dédes, également arbitre international de football - l'Etat-civil, Gustave Guilloud, pétabosson, le Moine du Coteau Vert, rue de Neuchâtel 34, qui "pendait" les futurs mariés dans le hall (publiait les bans du mariage) "Y sont pendus" en termes explicites. |
57 |
La Poste, bureaux de l'Administration communale et 2 appartements. |
Gare CFF, avec annexes: WC publics, coté voies et poids public côté route. Les barrières du passage à niveau étaient actionnées manuellement par le chef de gare. |
1 |
Dépôt de peinture Joseph Beati et habitation |
Gare aux marchandises - incendiée en 2002 |
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Place de parc |
Place du Château
Naguère |
No |
Au 21e siècle |
Etude du notaire Michaud, puis Recette, puis Gendarmerie |
2 |
Esthéticienne - Dermatologue |
Etude du Notaire Mermoud, devenu Syndic de 1961 à 1976, puis député au Grand Conseil vaudois |
6 8 |
Etude des notaires Gasser devenu Syndic de 1990 à 2002 - Bugnon et Gilliéron BCV |
Chapelle de l'Eglise libre - lieu de culte de l'Eglise libre évangélique réformée du canton de Vaud, pasteur retraité de l'Eglise libre = Paul Margot, domicilié rue Haute no 57 actuel |
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vouée à la démolition |
Kiosque de la Place - 1er du nom - installé dans une maisonnette près de l'Eglise libre, par Netti Galeazzi |
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Transféré dans le garage du Château sec, disparu lors des transformations. Kiosque actuel au no 2 de la rue Basse. |
Derrière les Brés, devenu Rue des Remparts
Naguère |
No |
Au 21e siècle |
Menuiserie Guilloud, fabrique d'échelles, puis Candaux, puis Aviolat |
26 |
Rue des Remparts - menuiserie Gfeller |
Séchoir Vautier - incendie au début du 20e siècle - restent des poutres calcinées au plafond le la cave |
30 |
Rue des Remparts -habitation |
Grange et Ecurie de Charles Werly, laitier |
4 |
Vétérinaire Brocard |
Dépôt de Tabacs Cigares Simon, puis local des pompiers et voirie |
6 |
Garderie - nurserie Le Papayon et CMS |
Cette page ne demande qu'à être complétée, nous comptons sur chacun pour y apporter son anecdote.
Un peu d’histoire récente, maintenant, je laisse la parole à notre ami Willy :
Dans un album, j’ai trouvé des photos ( Kodak - noir/blanc, 6/9 bobine en bois, je vous prie), prises depuis notre fenêtre de la rue Haute, numéro actuel 57 et que j’ai numérisées.
Eventuellement pour vos archives.
Qualité très, très limitée, il est vrai. J’ai fait ce que j’ai pu, avec les moyens du bord :
(camera = boîte carrée, avec un trou obturé à l’aide d’un ressort … on est loin de la photo numérique du 21e siècle.)